Ouverture des portes : Minuit
Entrée 20 CHF
+ 18 ans révolus
Les horaires de fermeture sont susceptibles de varier en fonction de l'affluence.
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Si tout avait marché comme prévu, vous en n'auriez rien à cirer de ce texte. En effet, l'histoire du jeune Velten Doering, qui quitte le cocon familial en Forêt-Noire et monte à Berlin, cherche une formation professionnelle traditionnelle et finit par devenir adulte, ne serait vraiment pas emballante. Heureusement à Berlin, il a y une boîte qui s'appelle Ostgut. Et aussi des gens comme Velten qui prennent des décisions déraisonnables. On connaît la suite. Au lieu d'être assis le lundi matin dans le métro pour aller au boulot, Velten préfère fêter l’after hours avec les copains avec lesquels il partage un appartement délabré. Avec un petit peu de chance, ses copains ne partagent pas seulement la passion de nuits à n’en plus finir ; au fil du temps, ils créent leurs propres séries de fêtes ou fondent des bars, ou bien, en un tour de main, transforment en club une arrière-cour berlinoise abandonnée. C'est ainsi qu'en un rien de temps, Velten devient DIRTY DOERING, DJ, producteur et chef du label KATERMUKKE. Mais au tout début, il est plutôt question de bière et d'eau-de-vie. Velten échange son bureau contre un comptoir et derrière le bar, dans la boîte d’amis, il veille consciencieusement à ce que les célébrités techno de Berlin entrent en délire aussi rapidement que possible. Le fait qu'il joue les DJ et sonorise de plus en plus fréquemment la boite avec ses propres mixtapes, ne nuit naturellement en rien à la chose. Au contraire, ses sets respirent exactement la vibe dramatiquement hédoniste qui attire ces derniers temps de plus en plus de gens dans un petit bar situé entre la Holzmarktstraße et la rive de la Spree. Le BAR 25 fait lentement des vagues, on attendait quelqu’un comme Velten. Un beau jour, DIRTY DOERING est devenu indissociable du BAR 25. Le type du comptoir devient résident, la queue à l'entrée se fait de plus en plus longue, les copains deviennent la famille. On commence à connaitre DIRTY DOERING hors de Berlin, au plus tard à partir de 2010 : avec « I WOULD » et la vidéo assortie, qui fourmille de gens hauts en couleur qui se meuvent hors du temps, il traduit si exactement, non seulement le sound, mais surtout le feeling du BAR 25, que le monde entier a soudain envie de danser avec lui sur les bords de la Spree.
Depuis, les événements se sont bousculés : des engagements comme DJ de New York à Tokyo suivent ; le BAR 25 ferme puis rouvre tandis que DIRTY DOERING met en flammes toutes les pistes de danse à chaque nouveau release ou remix. Un beau jour, il rompt définitivement avec le BAR ; l'ère KATER a commencé et c'est naturellement Velten qui a l'idée avec KATERMUKKE du label correspondant. Il publie de la musique au moins aussi haute en couleurs et diverse que ses sets de DJ. Deep ou flottante, d'un charme bizarre ou claire comme du cristal : DIRTY DOERING et KATERMUKKE s'engagent plutôt rarement. Mais ils savent exactement où ils vont. Toujours plus loin du quotidien. Ils s’enfoncent toujours plus profondément dans ce sentiment incroyablement libérateur qu'on ressent lorsque le beat est tout et qu'on oublie le lendemain. LOST IN MUSIC
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Dans les clubs animés de Berlin, il est facile de devenir un artiste perdu dans la foule. Pour se démarquer, les musiciens doivent, prendre des risques et tenir les fans en haleine, anticipant toujours la suite. Niconé fait exactement cela. En constante création et innovation, ce DJ et producteur allemand ne craint pas les défis.
Alexander Gerlach a lancé Niconé en 2007 en tant que projet de promotion de la musique et de la mode - il a un talent pour le graphisme et un intérêt pour les vêtements parallèlement à sa passion pour la musique. Depuis le début de sa carrière musicale, il a sorti une série d'albums et d'EP, à la fois en solo et avec des artistes comme Sascha Braemer, Jan Blomqvist et Philip Bader pour n'en nommer que quelques-uns.
La musique de Niconé ne peut pas être définie simplement par un genre, mais plutôt par un sentiment : le sentiment quand une piste de danse pleine d'étrangers s'unit pour former une masse singulière, tous dansant sur un rythme commun ; du soleil qui se lève tôt le matin alors qu'une fête atteint son apogée ; des heures passées à converser avec de nouveaux amis alors que les pistes d'après-heure résonnent au loin ; de la nostalgie des années passées équilibrée par une excitation pour ce qui est à venir. Dantze, le label qu'il a fondé avec Philip Bader en 2006, est devenu une plate-forme pour la sortie des œuvres de talents comme Britta Arnold, Gunjah et Daniel Dreier. Le label englobe plusieurs styles de musique électronique qui véhiculent des sentiments euphoriques similaires ressentis lors de l'écoute des propres morceaux de Niconé, mais tous à leur manière. Ses sorties sur des labels comme Stil vor Talent, Katermukke, Bar 25 Music et bien sûr, Dantze, intègrent des influences telles que la deep house, la tech-house, la musique électronique old-school ainsi que des genres non électroniques. Mais les classifications ne sont pas ce qui compte, il s'agit de transmettre un sentiment, ce que Niconé fait de main de maître.
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Presia s'est forgé une identité sonore unique en combinant l'organique et l'électronique, aboutissant à une série de disques en 2022. Son univers musical puise dans une légion de genres musicaux créant un style authentique qui lui est propre.
2023 regorge déjà de nouveautés musicales à venir avec des sorties prévues sur des labels confirmés comme microCastle, Art Minding ou AOC.